Découvrez ou redécouvrez le reportage sur les usagers des gares de Bonnières Rosny et Mantes la Jolie dans l'émission 66 minutes d'M6 du mercredi 12 novembre 2008. Des membres du comité des usagers ont été accompagnés par une équipe de l’agence Capa dans leurs déplacements.
Emission 66 minutes du mercredi 12 novembre 2008
mercredi 10 décembre 2008
Article Le Parisien du 5 novembre 2008
Des retards en pagaille sur la ligne Paris-Mantes.
Octobre noir sur le réseau Transilien de la SNCF. Le comité des usagers de la ligne Mantes-Paris-Saint-Lazare vient de publier ses chiffres sur le nombre de retards comptabilisés au mois d'octobre. Selon cette puissante et très sérieuse association, 31 trains ont subi un retard de cinq minutes. "C'est désastreux, cela ne peut plus durer. La qualité du service laisse à désirer", ecrit Sylvie dans le blog du comité. "Catastrophique" rencherit l'un des quelque 200 000 usagers quotidiens de cette ligne. "C'est vrai, ce mois a été terrible", ajoute Louis Gomez, le président du comité des usagers.
"Les résultats sont mauvais, reconnait Guillaume Ancel, le directeur de la liaison. Paradoxalement, près d'un tiers des retards est dû au renouvellement de nos locomotives. Des défauts de jeunesse apparaissent et doivent être corrigés", explique le responsable de la ligne Paris-Mantes.
Malveillance
Ce dernier apporte également une autre explication : l'explosion du nombre de signaux d'alarme tirés. En octobre 2007, il y a eu par exemple 23 fausses alertes. Le mois dernier, les conducteurs de locomotives en ont compté 63, soit presque le triple ! un phénomène lourd de conséquence sur la régularité des trains : l'immobilisation d'une rame après un signal d'alarme tiré entraîne un retard minimum de quinze minutes qui se répercute ensuite sur tout le réseau. La brutale augmentation de ces actes de malveillance est difficile à interpréter. D'autant que la SNCF a mis en place un nouveau service afin de dissuader les fauteurs de troubles.
Les représentants des usagers doivent rencontrer aujourd'hui les responsables de la SNCF afin de remédier à cette situation. "Il faut faire vite. A partir du 15 décembre, les nouveaux horaires vont être mis en place. Là, on n'a pas le droit de se tromper", insiste Louis Gomez.
Des policiers en civil pour surveiller les signaux d'alarme
C'est peut-être une solution à l'éternel problème du signal d'alarme tiré. Responsable de nombreux retards dans les trains, ce phénomène est aujourd'hui difficilement répréhensible. Pour en limiter le nombre, la SNCF à dépêché depuis deux semaines quelques-uns de ses 200 agents de surveillance sur la ligne Paris-Mantes. Habillés en civil, les hommes sont chargés de surveiller les manettes rouges qi permettent de stopper les trains. Leur mission ? Intervenir juste avant qu'un esprit mal intentionné ne passe à l'action. S'ils interviennent trop tard, ces agents pourront tout de même "interpeller" les fauteurs de troubles en flagrant délit. Un signal d'alarme tiré sans motif valable ou sans raison sérieuse peut être puni d'une amende de 135 €. Pour l'instant, l'intervention d'agent en civil est seulement un test.
Auteur : Medhi Gherdane
Octobre noir sur le réseau Transilien de la SNCF. Le comité des usagers de la ligne Mantes-Paris-Saint-Lazare vient de publier ses chiffres sur le nombre de retards comptabilisés au mois d'octobre. Selon cette puissante et très sérieuse association, 31 trains ont subi un retard de cinq minutes. "C'est désastreux, cela ne peut plus durer. La qualité du service laisse à désirer", ecrit Sylvie dans le blog du comité. "Catastrophique" rencherit l'un des quelque 200 000 usagers quotidiens de cette ligne. "C'est vrai, ce mois a été terrible", ajoute Louis Gomez, le président du comité des usagers.
"Les résultats sont mauvais, reconnait Guillaume Ancel, le directeur de la liaison. Paradoxalement, près d'un tiers des retards est dû au renouvellement de nos locomotives. Des défauts de jeunesse apparaissent et doivent être corrigés", explique le responsable de la ligne Paris-Mantes.
Malveillance
Ce dernier apporte également une autre explication : l'explosion du nombre de signaux d'alarme tirés. En octobre 2007, il y a eu par exemple 23 fausses alertes. Le mois dernier, les conducteurs de locomotives en ont compté 63, soit presque le triple ! un phénomène lourd de conséquence sur la régularité des trains : l'immobilisation d'une rame après un signal d'alarme tiré entraîne un retard minimum de quinze minutes qui se répercute ensuite sur tout le réseau. La brutale augmentation de ces actes de malveillance est difficile à interpréter. D'autant que la SNCF a mis en place un nouveau service afin de dissuader les fauteurs de troubles.
Les représentants des usagers doivent rencontrer aujourd'hui les responsables de la SNCF afin de remédier à cette situation. "Il faut faire vite. A partir du 15 décembre, les nouveaux horaires vont être mis en place. Là, on n'a pas le droit de se tromper", insiste Louis Gomez.
Des policiers en civil pour surveiller les signaux d'alarme
C'est peut-être une solution à l'éternel problème du signal d'alarme tiré. Responsable de nombreux retards dans les trains, ce phénomène est aujourd'hui difficilement répréhensible. Pour en limiter le nombre, la SNCF à dépêché depuis deux semaines quelques-uns de ses 200 agents de surveillance sur la ligne Paris-Mantes. Habillés en civil, les hommes sont chargés de surveiller les manettes rouges qi permettent de stopper les trains. Leur mission ? Intervenir juste avant qu'un esprit mal intentionné ne passe à l'action. S'ils interviennent trop tard, ces agents pourront tout de même "interpeller" les fauteurs de troubles en flagrant délit. Un signal d'alarme tiré sans motif valable ou sans raison sérieuse peut être puni d'une amende de 135 €. Pour l'instant, l'intervention d'agent en civil est seulement un test.
Auteur : Medhi Gherdane
Article Le Parisien du 14 Mars 2008
L'info du jourParis-Mantes Les Incidents sur Internet
Vous êtes resté bloqué une heure dans le train et voulez savoir ce qui s'est précisément passé ?
C'est aujourd'hui possible. La direction de la SNCF et le comité des usagers du Paris-Mantes ont décidé d'améliorer la communication en direction des voyageurs.
Les habitués de cette ligne à problèmes peuvent désormais découvrir sur Internet*, quelques jours après, l'origine de l'incident qui les a retardés.
« Nous demanderons un compte rendu à la SNCF sur l'origine précise de la panne. Ce résumé sera ensuite accessible sur notre site. Le langage ne sera pas technique mais compréhensible par le grand public, explique Louis Gomez, le porte-parole du comité des usagers. Notre objectif n'est pas de suppléer le manque d'information de la SNCF, juste d'apporter des renseignements supplémentaires. »
Ce dispositif, artisanal, résulte des bonnes relations entre le comité des usagers et la direction de la ligne Paris-Mantes, pas, d'une opération officielle et systématique. Conséquence, seuls les gros problèmes, portés à la connaissance de membres du comité, seront répertoriés. Le mois dernier, par exemple, un incident électrique avait occasionné des retards de deux heures sur certaines rames. Le rapport sur l'événement est disponible sur le Net.
« Nous souhaitons montrer ainsi notre volonté de prendre nos clients en considération », explique-t-on à la direction de la SNCF. « Ça permettra à nos parons de vérifier qu'on ne ment pas ! explique Anouar, un voyageur rencontré à la sortie de la gare. Plus sérieusement, j'aurais préféré que les conducteurs nous indiquent en direct les délais de retard. Je ne pense pas que ce soit si compliqué. »
Auteur : Medhi Gherdane
Article Le Courrier de Mantes du 12 mars 20008
TRANSPORTS
SNCF et usagers se reparlent
SNCF et usagers se reparlent
Deux mois après la grève du ticket observée par les voyageurs, le dialogue est renoué entre les représentants de la SNCF et ceux des usagers. C'est le sentiment qui se dégage de l'entretien qui s'est déroulé en mairie, entre le président du comité des usagers des gares de Mantes, Rosny, Bonnières, et le directeur de la ligne, Philippe Hetzel. Le maire, Françoise Descamps Crosnier, y a également assisté.
Les uns et les autres ont d'ores et déjà prévu de se revoir, à raison d'un rendez-vous mensuel jusqu'à l'été, avant une réunion publique en juin.
« Une écoute différente », « une relation plus positive », dit Louis Gomez. Philippe Hetzel y voit un « aboutissement » et un souhait de « travailler en toute transparence ».
Six trains en plus
Le directeur de la ligne assure que le temps des fermetures estivales de gares appartient au passé : «Nous avons recruté. Je réaffirme qu'il n'y aura ni fermeture pendant l'été et que les gares de Rosny et. Bonnières seront conservées. »
La mise en place de la future grille horaire, qui inclut le cadencement des départs y compris en heures creuses ainsi que six allers et retours quotidiens supplémentaires à partir de la mi-décembre est évidemment perçue comme une amélioration sensible des services.
Des « améliorations » ont été constatées en février, se félicite-t-on encore autour de la table, « grâce à la régulation des trains qui se fait désormais à Saint-Lazare. Nous avons désormais la main sur les trains » desservant Rosny et Bonnières, historiquement gérés par Rouen. C'est bien contre cette « enclave ferroviaire » que protestait le comité des usagers « depuis que l'association a été créée, il y a dix- huit ans ».
Par ailleurs, le renouvellement du matériel roulant se poursuit. La vingtième locomotive neuve sera opérationnelle très prochainement, selon Philippe Hetzel qui précise en outre que deux rames sont en réserve en cas de problème.
Auteur : Frédéric le Bozec
Suite à la réunion du 5 mars à la mairie de Rosny
Des voix sur la voie - Interview de Philippe Hetzel
Voici l'interview de Philippe Hetzel, directeur de ligne Transilien de Paris St Lazare. Il répond aux questions de Franck concernant les mesures prisent pour améliorer les conditions de transport des voyageurs transitant par Paris St Lazare.
Pour écouter l'interview, appuyez sur le bouton vert ci-dessous à gauche.
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Article Le Courrier de Mantes du 30 janvier 2008
Texte :
Réunion publique salle du lavoir
SNCF : un second groupe d'usagers
Les clients de la SNCF s'organisent un peu plus. Le comité des usagers des gares de Rosny, Bonnières, Port-Villez et Mantes la Jolie, présidé par Louis Gomez qui les représentent auprès de la SNCF et des élus, dispose désormais d'un porte-parole à Bréval : Franck Menant.
Vendredi, salle du lavoir, il coanimait une réunion publique, aux côtés du président du comité, Louis Gomez, et du maire de Bonnières, Jean-Marc Pommier.
L'invitation de l'association a été manifestement entendue : plus de trente personnes sont venues pointer du doigt les dysfonctionnements constatés de la ligne Bréval-Paris et s'investir pour développer des actions collectives au sein de l'association.
Un groupe de dix voyageurs, représentatifs des différentes communes du plateau, s'est constitué à l'issue de la réunion. Il devra faire remonter les incidents et doléances des usagers des différents trains.
Les principales revendications portent sur les retards et suppressions de trains, le manque d'entretien, de confort et de chauffage en particulier. L'insécurité liée à la descente de train Corail hors quai, dans les wagons de queue, a aussi été évoquée.
De plus, des navettes de bus n'assurent pas les dessertes de chacun des trains. Une amplitude horaire plus large est souhaitée. Elle permettrait le désengorgement du parking de la gare aujourd'hui saturé.
Par ailleurs, à l'appel des représentants du comité, un mouvement de grève de présentation de titres de transport a été initié lundi 21 janvier.
Louis Gomez en a dressé un premier bilan : "Notre démarche de terrain semble être efficace, elle a eu un large écho dans tous les médias locaux, les retours de la part des interlocuteurs rapportent de nettes améliorations des conditions de transport, en terme de retards ou suppression."
"Je vais relayer tout ce que j'ai appris ce soir à toutes les personnes qui voyagent avec moi", assure Sylvie, de Guainville (28).
"Cette réunion a été constructive. La première, il y a un douzaine d'années, n'avait rien apporté. Aujourd'hui, je sens le dynamisme, la reconnaissance de nos doléances et la prise en compte de tous nos problèmes. On a appris que des trains supplémentaires seront proposés fin 2008. Tout cela est encourageant, le groupe va nous représenter", a conclu Patrick Liège, de Neauphlette.
La prochaine réunion aura lieu le 1er février, à Bonnières. Il y sera justement question de faire le point sur la régularité des trains. Renseignements sur le blog http://usagersgares.blogspot.com
Des voix sur la voie - Interview d'usagers
Suite à la réunion du vendredi 25 janvier 2008 à Bréval, voici deux interviews d'usagères de Bréval par Franck.
Pour écouter l'interview, appuyez sur le bouton vert ci-dessous à gauche.
1ère interview sur l'information auprès des voyageurs
2ème interview sur la fréquence des trains
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1ère interview sur l'information auprès des voyageurs
2ème interview sur la fréquence des trains
Article Le Parisien du 22 janvier 2008
Texte :Les usagers refusent de montrer leur billet
MANTES-LA JOLIE. En grève du zèle, les voyageurs en colère refusent de présenter leur billet. Au premier jour de leur mouvement, les contrôleurs se sont faits discrets.
HIER MATIN, 7 h53, gare de Mantes-la-Jolie. Le train de 7h 38 à destination de Paris Saint-Lazare arrive enfin en gare. Le quai est bondé de voyageurs. Les portes des voitures s'ouvrent et la foule d'habitués joue des coudes pour pouvoir monter. Faute de place, des personnes, manteau sur le dos et sacs entre les jambes sont déjà assises dans les escaliers. Les usagers de Mantes-la-jolie connaissent le même sort que ceux montés a Bonnières, l'arrêt précédent. Ils voyagent debout, brinquebalés d'un côté ou de l'autre au gré des secousses de la rame.
« La semaine commence bien. Ça promet pour les jours à venir», lance Nelly arborant sur sa veste un autocollant «usager en colère». Pour elle, comme pour tous les autres membres du comité des usagers de la ligne Mantes-Paris pas question de présenter son titre de transport si un contrôleur se présente. Et ce jusqu'au ler février, date de réunion des représentants du comité
avec le directeur de la ligne Paris-Mantes. D'ici là, ils rencontreront le 25 janvier les galériens de Bréval.
« Nous achetons notre titre de transport 108€ par mois. Mais nous n'acceptons plus de voyager dans ces conditions, avec des retards à répétition, des suppressions de trains, des avaries de matériel, absence de conducteur ... Notre façon de manifester, c'est de refuser de montrer notre billet », explique Sylvie Dupuy, secrétaire à la Madeleine qui, depuis des années note scrupuleusement sur un carnet tous les retards de la SNCF. Et ils sont nombreux.
Des incidents deux jours sur trois
Depuis le début de l'année, les voyageurs ont enregistré quasiment deux jours sur trois des incidents. L'an dernier, ils ont représenté l' équivalent de plus de 6 jours de travail.
Les usagers n'en peuvent plus. « C'est surtout le stress quotidien. On se lève à 5 heures du matin en se demandant si le train va arriver Et le soir, c'est le mêrne refrain, explique Carole. On n'arrête pas de courir, saris compter qu'il faut rendre des comptes à tout le rnonde, à la nourrice qui vous fait une tête pas possible quand vous arrivez en retard et à votre employeur. J'ai déjà eu des remontrances. Si cela continue, je vais recevoir une lettre recommandée »
Nelly, salariée à la CPAM depuis trente-deux ans désespère. « J'ai fait ma demande de mutation à Mantes- la-Jolie. Elle m'a été refusée. Aujourd'hui, j'ai quatre heures de transports par jour quand tout va bien et davantage quand rien ne va. Lors de sa campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy avait jugé inadmissible qu'une femme ait plus de trois heures de transport par jour. Je lui demande donc d'intervenir. » A 8 h 35 passé, le train arrive à Saint- Lazare sans que les voyageurs n'aient vu un seul contrôleur.
par Véronique BeaugrandLe comité dans l'émission Bouge la France du 21 janvier 2008
Extrait de l'émission Bouge la France du lundi 21 janvier 2008 sur Public sénat. Louis Gomez président du comité d'usagers des gares de Rosny, Bonnières et Mantes vient présenter en compagnie du directeur de ligne Philippe Hetzel l'opération ticket de grève.
Reportage JT de France 2 du 20 janvier 2008
Extrait du journal télévisé de France 2 du dimanche 20 janvier 2008. Présentation de l'opération ticket de grève du comité d'usagers des gares de Rosny, Bonnières, et Mantes.
Des voix sur la voie - Interview d'usagers
Suite à la réunion du lundi 7 janvier 2008 à la mairie de Bonnières sur Seine, voici l'interview d'une usagère par Franck, qui nous présente un bilan de l'année 2007.
Pour écouter l'interview, appuyez sur le bouton vert ci-dessous à gauche.
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Interview de Jean-Marc Pommier
Jean-Marc Pommier, maire de Bonnières sur Seine répond aux questions de Franck sur la création d'une liaison Bonnières-La Défense par autocars.
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Interview de Louis Gomez sur France Bleue IDF le 23 novembre 2007
Interview de Louis Gomez Président du comité dans le journal de France Bleue Ile de France du vendredi 23 novembre 2007 sur la fin de la grève.
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Reportage sur le comité diffusé sur la chaine Paris cap'
Reportage sur le comité diffusé sur la chaine Paris cap'
La chaîne Paris cap' est la nouvelle chaîne de télévision locale à Paris. Elle émet 7 jours/7, 24 heures/24 depuis la mythique rue Cognacq-Jay. Paris cap' est en prise directe avec l'actualité, la programmation est rythmée tous les quart d'heure par des flashs info et des agendas. Son objectif : donner aux Parisiennes et aux Parisiens actifs qui sont de plus en plus réceptifs à la proximité, l'envie de mieux vivre Paris. Avec Paris cap', Ils auront enfin leur chaîne !
Merci à Paris Cap de s'intéresser aux centaines de milliers de banlieusards qui rejoingnent la capitale tous les jours !
La chaîne Paris cap' est la nouvelle chaîne de télévision locale à Paris. Elle émet 7 jours/7, 24 heures/24 depuis la mythique rue Cognacq-Jay. Paris cap' est en prise directe avec l'actualité, la programmation est rythmée tous les quart d'heure par des flashs info et des agendas. Son objectif : donner aux Parisiennes et aux Parisiens actifs qui sont de plus en plus réceptifs à la proximité, l'envie de mieux vivre Paris. Avec Paris cap', Ils auront enfin leur chaîne !
Merci à Paris Cap de s'intéresser aux centaines de milliers de banlieusards qui rejoingnent la capitale tous les jours !
Reportage sur le comité dans le JT du 13 novembre 2007 de TF1
Reportage sur la manifestation du 13 novembre 2007 prévue par le comité dans le journal télévisé du 20H de TF1 du mardi 13 novembre 2007.
Journal de 20H - TF1 - 13 novembre 2007
Cliquez sur le lien
Journal de 20H - TF1 - 13 novembre 2007
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Reportage sur le comité dans le JT du 12 novembre 2007 de TF1
Reportage sur la manifestation du 13 novembre 2007 prévue par le comité dans le journal télévisé du 20H de TF1 du lundi 12 novembre 2007.
Journal de 20H - TF1 - 12 novembre 2007
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Journal de 20H - TF1 - 12 novembre 2007
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Nouvelle Interview de Louis Gomez sur RTL le 12 novembre 2007
Louis Gomez Président du comité des usagers intervient de nouveau dans le journal de RTL suite à la grève manifestation prévue le 13 novembre 2007.
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Interview de Louis Gomez sur RTL le 11 novembre 2007
Louis Gomez Président du comité des usagers intervient dans le journal de RTL suite à la grève manifestation prévue le 13 novembre 2007.
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mardi 9 décembre 2008
Interview de Louis Gomez dans le journal de Bonnières
Le Comité des Usagers des Gares a été créé en 1990 ; sans son action, Bonnières serait aujourd'hui une commune « désertifiée ». Louis GOMEZ, président du comité des usagers des gares :
Quelles ont été les actions concrètes de la municipalité à l'appui de votre action ?
Louis GOMEZ : « Dans l'action passée, un important soutien de la Municipalité nous a été apporté par la voix de Jean-Marc Pommier.
En effet, il convient de souligner que le Maire de Bonnières, est tout à la fois un usager des gares, et un élu.
Un usager, d'abord, conscient des problèmes rencontrés par tous les usagers des gares, et qu'il subit lui-même au quotidien lorsqu'il se rend comme nombre d'habitants du canton à son travail situé à Paris.
Un élu, ensuite, qui n'économise pas son temps et ni son énergie à essayer d'obtenir des pouvoirs publics des résultats, des réponses et un dialogue. Un élu qui a la volonté d'agir, et qui s'implique dans les problèmes réels de ses concitoyens.
Pour prendre un exemple concret dont nombre de personnes se souviennent : en 2006, de mars à mai Jean-Marc POMMIER s'est impliqué lorsque plusieurs dessertes des 4 lignes de bus régulières desservant pas moins de 17 communes ont été supprimées. Ces interventions (courriers, déplacements...) notamment auprès du S.T.I.F. se sont révélées déterminantes et ont permis le rétablissement d'un service normal. Cette volonté de préserver et d'améliorer les transports et les déplacements de la ville et du canton s'est exprimée également par la création de la gare routière qui a modifié la donne, notamment en ce qui concerne les conditions de travail des chauffeurs, l'amélioration des conditions de transport des usagers et de leur sécurité.
Autre exemple de cette continuité et de la cohérence de cette démarche ; des interventions auprès de la SNCF et du STIF ont eu lieu, notamment lorsque le risque de fermeture de la gare a eu lieu il y a environ 4 ans. La concertation du Comité des usagers des gares avec la Mairie a permis son maintien.
En outre le conseil municipal de Bonnières a en juin 2006 activement appuyé la création d'une ligne VERNON-LA DEFENSE via Bonnières. Ces améliorations ne sont pas seulement bénéfiques aux Bonnièrois, mais à tous les usagers du canton, voire au-delà. »
Quel rôle peut, selon vous jouer l'intercommunalité dans l'amélioration du service public des transports ?
« Le comité des usagers est conscient que la Communauté de Communes doit exercer la compétence des transports, son influence et le territoire qu'elle représente étant plus larges que ceux de la seule commune de Bonnières.
Cela nécessite une complémentarité des actions, que ce soit en faveur des bus ou des trains, avec une attitude très ferme envers les dirigeants de la SNCF et des compagnies de bus.
Jean-Marc Pommier est quasiment le seul élu à agir « pour le canton », ce qui implique une réactivité importante.
Aujourd'hui, la gare ne serait ouverte que 2 heures par jour si différentes actions n'avaient pas été menées ensemble, comme des réunions de crise en Mairie pour faire réagir les pouvoirs publics (Préfecture, Sous-Préfecture...).
Si le rétablissement des lignes de bus a été un succès, il nous faut cependant rester vigilants et tirer les leçons de tout cela. Le problème, c'est que le canton de Bonnières n'a pas de visibilité en-dehors de ses frontières. La couverture médiatique importante (Le Parisien, France 2, RTL) dont les actions de ....2007 a pu bénéficier à conforté la nécessité de nos actions à une échelle élargie.
Les problèmes de bus doivent se régler au niveau intercommunal. Nous avons besoin d'une structure, comme un comité local
des transports. Il faut que la communauté de communes des Portes de I'lle de France détentrice de la compétence « transports » fasse preuve d'autorité, qu'elle prenne des initiatives et qu'elle dialogue avec les responsables des sociétés de transports d'autocars.
Il faut donc rester vigilants ; créer une institution pour défendre les besoins de notre territoire auprès du STIF ou de l'État, notamment dans le cadre de l'Opération d'intérêt National, dont l'amélioration des transports constitue l'un des domaines d'action phares.
Si on veut préserver les caractéristiques et l'attractivité de
notre territoire, il faut favoriser le maillage des transports, l'étendre et non le diminuer. Il faut que les pouvoirs publics aient des interlocuteurs et il faut inscrire la communauté de communes dans un territoire plus large (comme la CAMY ou la CAPE ...)
Pour le canton de Bonnières, la gare SNCF à un rôle essentiel; il faut donc porter son développement et non le subir. Pour cela, il nous faut des élus dynamiques, sinon nous serons écrasés.
L'enquête relative au service de bus réalisée l'an dernier par notre Comité fait ressortir la nécessité de prendre en compte les horaires, mais aussi le confort et la sécurité des usagers, par une démarche de concertation, une démarche volontariste. »
Que pensez-vous des améliorations apportées par les travaux réalisés par la commune de Bonnières sur la gare routière ?« Avant, des véhicules étaient dégradés. Les gens partaient le matin en laissant leurs véhicules sans être sûrs de le retrouver « en un seul morceau » le soir en rentrant du travail.
Ces atteintes répétées aux biens des personnes et à leur sécurité n'étaient plus admissibles.
En installant un système de vidéosurveillance performant sur la gare routière et les parcs de stationnement attenants, la municipalité de Bonnières a pris ses responsabilités, et c'est tant mieux pour tout le monde.
Le but est de favoriser le transport en commun, augmenter les déplacements en bus pour diminuer les problèmes de stationnement et améliorer l'environnement. Cela nécessite une prise de conscience, d'autant que l'augmentation de population va accroître les problèmes. En plus de cette « mise en sécurité » de la gare il faut avouer que le cadre a très nettement été amélioré. Je m'explique : les bords de Seine ont été paysagers, cela améliore tout de même la qualité de vie des gens qui y passent deux fois par jour !
Un éclairage public important a également permis de sécuriser le stationnement surtout en hiver lorsque le jour se lève tard et que la nuit tombe tôt. Je crois que chacun y a trouvé son compte.
L'objectif étant en effet d'essayer de favoriser au maximum les déplacements par les transports en commun, on peut dire que la commune de Bonnières, avec la réalisation de cette nouvelle gare routière, a mis tous les atouts de son côté.
- Articles paru dans : Bonnières Sur Seine / 1er Semestre 2007 - Edition spéciale Juillet-Août - 2007
Reportage JT de France 2 du 15 février 2007
Une équipe de France 2 a accompagné quelques membres du comité des usagers des gares de Rosny, Bonnières, Port-Villez, Mantes la Jolie et Mantes la Ville. Elle a pu constaté les conditions dans lesquelles les voyageurs étaient confrontés puisque le train arriva avec 30 mn de retard !
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